Caritas International Belgique Gardons-les à l’école
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Liban :
Gardons-les à l’école

Caritas International BelgiqueGardons-les à l’école
septembre 2019

Alors que leurs ami-e-s jouent dehors après l’école, Julie, Yaman et tant d’autres enfants retournent en classe pour apprendre encore et se remettre à niveau. Cela ne va pas de soi. Ils pourraient se résigner, il y a assez de raisons pour cela. Ils ont des difficultés d’apprentissage… proviennent de familles défavorisées… vivent souvent dans des conditions précaires… ont dû fuir pendant trop longtemps… Mais non : ils travaillent dur pour leur avenir. Leur acharnement et leur engagement méritent le respect. Et du soutien.

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Chaque geste compte et contribue à aider des enfants vulnérables au Liban. Merci de tout cœur pour votre générosité.

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<p>Pour Julie, l’école n’est pas toujours une partie de plaisir. Elle s’accroche pour y arriver. Et vous pouvez l’aider.</p>

Pour Julie, l’école n’est pas toujours une partie de plaisir. Elle s’accroche pour y arriver. Et vous pouvez l’aider.

Julie n’a pas encore 9 ans, mais elle donne déjà des leçons. Tous les samedis. Devant le tableau, sur la petite terrasse de l’appartement qu’elle partage avec sa maman, à Beyrouth. C’est là qu’elle donne des leçons de français ou de calcul à une classe imaginaire. Plus tard, elle veut devenir institutrice. Elle est convaincue qu’elle y arrivera. Mais elle devra travailler dur, parce qu’elle a parfois du mal à suivre à l’école. C’est pourquoi elle va a l’école des devoirs de Caritas depuis deux ans. Grâce à ce programme – appelé After School – les élèves sont aidés à faire leurs devoirs, sont accompagnés dans leurs études et reçoivent des cours particuliers après l’école. Un coup de pouce essentiel.

After School

Le programme After School a transformé Julie. Elle a trouvé en elle une force qu’elle ne soupçonnait pas. L’enfant timide qu’elle était a profité de cette étude encadrée pour devenir une jeune fille forte qui sait ce qu’elle veut. Elle n’a jamais été aussi sûre d’elle et de son rêve. Mais son rêve de devenir enseignante pourrait ne jamais voir le jour.

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Les enfants réfugiés redécouvrent la joie, la paix et l’amitié

À l’image de la plupart des enfants de réfugiés syriens, Yaman, 7 ans, n’a pas vu de bancs d’école ou d’enseignant-e-s pendant longtemps. Il est heureux de pouvoir aller à l’école au Liban, mais il éprouve des difficultés.

D’où qu’ils viennent, les enfants réfugiés comme Yaman accusent un retard scolaire. De plus, ils ne connaissent généralement ni le français ni l’anglais, deux langues importantes dans l’enseignement au Liban. La plupart ne sont pas allés à l’école pendant des mois, certains pendant des années. Lors de leur fuite, ils ont dû tout abandonner. Ils ont perdu des proches et leurs ami-e-s. Et ils ont vécu des choses horribles.

<p>Depuis qu’il bénéficie du programme <em>After School</em>, il a fait des progrès impressionnants. Aidez Yaman à continuer à aller de l’avant.</p>

Depuis qu’il bénéficie du programme After School, il a fait des progrès impressionnants. Aidez Yaman à continuer à aller de l’avant.

After School

Ce programme est ce qui pouvait arriver de mieux à Yaman. « Il a fait de gros progrès », explique sa maman, Fatima. « Il fait ça très bien. » Ses résultats s’améliorent. Tout le monde espère qu’il pourra continuer comme cela. Alors, les portes vers un avenir meilleur lui seront ouvertes. Sinon, il a peu de chance d’avoir une vie heureuse.

Le programme After School rend leur dignité à Yaman et à des enfants comme lui, il leur permet de se faire de nouveaux et nouvelles ami-e-s. Ils réaprennent ainsi ce que signifient joie, paix et amitié. Mais qu’arrivera-t-il à Yaman si les portes de cette école si particulière devaient fermer ?

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Le temps presse

Un bon enseignement est le chemin le plus direct vers un avenir meilleur. Mais c’est un chemin difficile pour des enfants comme Julie et Yaman.

Caritas demande votre aide pour des enfants libanais qui ont du mal à l’école et vivent dans des familles très pauvres. Et pour des enfants de réfugiés syriens, qui accusent un retard scolaire et rencontrent un problème de langue au Liban.

Si nous ne rassemblons pas les fonds nécessaires, les six écoles de devoirs sont menacées et l’avenir de quelque 500 enfants sera en jeu. Merci d’apporter votre aide !

Comment donner aujourd’hui à un enfant un avenir meilleur ?

Chaque jour, au Liban, des centaines d’enfants vulnérables ayant des difficultés d’apprentissage travaillent dur pour leur avenir. Aidez-les en faisant un don. Faites-le dès aujourd’hui. Les fonds manquent, les cours commencent en octobre, les enfants attendent avec impatience. Merci de faire un don maintenant. Voici quelques suggestions de Caritas, pour un enfant :

2 semaines d’After SchoolCaritas International Belgique Gardons-les à l’écolePour 24 €
1 mois d’After School*Caritas International Belgique Gardons-les à l’écolePour 48 € 2 mois d’After School*Caritas International Belgique Gardons-les à l’écolePour 96 € 

* Pour tout don d’au moins 40 euros sur base annuelle, vous recevrez en février prochain une attestation fiscale qui vous permettra de récupérer jusqu’à 45 % de la somme versée. Si, par exemple, vous offrez 96 euros, vous pourrez récupérer jusqu’à 43,20 euros en réduction d’impôts. Caritas aidera en votre nom un enfant avec vos 96 euros, alors qu’il vous en coûtera finalement moins de 53 euros. De nombreux donateurs et donatrices tiennent compte de cet avantage fiscal et font un don plus important. Vous aussi ?

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