Les moyens supplémentaires permettent principalement de soutenir la création d’activités génératrices de revenus. Des formations sont également proposées aux personnes retournées, pour leur apprendre à créer leur propre entreprise en tenant compte de la situation économique des régions dans lesquelles elles s’installent.
Dans le cadre du projet, nous nous concentrons aussi sur les personnes au profil vulnérable qui n’ont trouvé à se loger après leur retour : nous leur fournissons alors un logement temporaire pendant trois mois.
Nous renforçons également notre soutien aux organisations partenaires dans les pays de retour, en attribuant à certaines d’entre elles un budget structurel annuel. Celui-ci sert à améliorer leur fonctionnement et à couvrir une série de frais : transport, internet, téléphonie, engagement de personnel supplémentaire… Les organisations se chargent en retour de rassembler des informations utiles à propos de leur pays : carte sociale, situation médicale ou encore contexte économique. Toutes ces données sont précieuses pour organiser au mieux la réintégration après retour et pour transmettre des informations précises et fiables aux candidat-e-s au retour.