A la différence des autres pays voisins (la Jordanie, la Turquie), le gouvernement libanais a décidé que les réfugiés syriens ne seraient pas accueillis dans des camps officiels : ils vivent soit au sein des communautés locales, soit dans des campements informels. La grande majorité d’entre eux s’est établie dans des régions où les conditions socio-économiques sont plus précaires comme celle de la vallée de la BeKaa ou dans le Gouvernorat du Nord. Suite aux incursions du groupe Etat Islamique, le Liban a décidé fin de l’année dernière de rendre l’accès au territoire encore plus difficile. Ces mesures de sécurité sont toujours d’application aujourd’hui.
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