L’histoire de Clémence
Aujourd’hui, huit ans après avoir du tout quitter et laisser derrière elle ceux qu’elle aimait, Clémence* a été reconnue comme réfugiée par la Belgique et…
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Caritas International en Belgique
Rebecca Mulvah, 34 ans, est heureuse d’être de retour à Balakatala. Terrorisée, elle avait fui dans la brousse après avoir entendu des rumeurs selon lesquelles un village voisin allait incendier le sien, atteint d’Ébola. La mère et le fils de Rebecca ont succombé au virus. Ebola est une maladie affreuse, mais pour de nombreux Libériens ce fardeau est alourdi par la peur de leurs voisins. Les équipes de Caritas interviennent en distribuant des kits d’hygiène et en diffusant des informations vitales pour stopper la propagation du virus Ebola à Balakatala.
Betty Kekulah a elle aussi gravement subi la stigmatisation associée à Ebola. Elle a dû fermer sa petite boutique car plus personne n’y venait depuis qu’elle avait survécu au virus. Betty, 31 ans, a attrapé le virus en soignant un garçon qu’elle croyait atteint de lèpre. Betty sait que la stigmatisation dont sont victimes les survivants d’Ebola est un problème épineux au Libéria. Mais elle sait aussi que Caritas et d’autres organisations mènent de vigoureuses campagnes contre cette stigmatisation.