Communiquer avec des personnes du monde entier demande une certaine créativité. Les assistant-e-s sociaux/ales de Caritas International en font l’expérience au quotidien, surtout quand leurs interlocuteurs/rices ne comprennent ni le français, ni l’anglais. Un-e interprète n’est pas toujours disponible. Et dans certains cas, comme celui d’Aleksandr, impossible de se faire comprendre par des gestes : cet homme de 52 ans est aveugle et ne parle que le russe. « Nous avons toujours besoin d’un interprète, que nous devons contacter à l’avance. Nous devons donc bien planifier nos visites chez lui », explique Belinda. « Quand on n’y parvient pas, nous devons alors nous contenter de Google Translate sur notre smartphone. On se débrouille comme on peut ».