7 PAYS impliqués
COHERENCE – contraction de COHÉsion sociale et de RésiliENCE, voilà le nom du programme quinquennal de Caritas International et de la Commission Justice & Paix. Celui-ci couvre sept pays : le Burkina Faso, le Burundi, l’Ethiopie, le Niger, la République Démocratique du Congo (RD Congo), la Palestine et la Belgique. Ce programme veut renforcer les communautés rurales impliquées dans les pays partenaires pour qu’elles soient plus résilientes et mieux en mesure de prévenir et de resister à des situations de crise. Nous voulons surtout donner aux personnes les plus vulnérables, en particulier les femmes et les jeunes, la possibilité d’améliorer leur vie.
Renforcer les communautés rurales
Notre objectif ? Renforcer la résilience des communautés rurales dans les provinces de Ruyigi et de Rutana afin qu’elles puissent mieux résister aux crises économiques, politiques, écologiques et humanitaires. Pour ce faire, nous accompagnons les personnes les plus vulnérables – en particulier les jeunes et les femmes – dans leurs initiatives pour améliorer leur bien-être, saisir des opportunités socio-économiques, réaliser leurs ambitions et exercer leurs droits.
Paix, gestion des risques, nouvelles sources de revenus et renforcement des capacités
Quatre piliers des effets attendus après 5 ans de mise en place :
- Les communautés accompagnée sont mieux en mesure de défendre et d’exercer leurs droits ;
- Des femmes, des jeunes et d’autres groupes personnes vulnérables dans ces communautés rurales développent plus de sources de revenus, dans l’agriculture ou dans d’autres activités ;
- Les communautés sont mieux capables de prévenir et de gérer des crises ;
- Les groupes cibles et partenaires locaux se renforcent mutuellement par des échanges et des processus d’apprentissage ; ils sont plus impliqués dans la société civile burundaise.
ACTIVITES
- Renforcer des structures communautaires pour résoudre des conflits de façon pacifique ;
- Organiser des activités de cohésion sociale pour lutter contre les violences basées sur le genre ;
- Accompagner des familles en matière de développement rural ;
- Structurer davantage le développement de groupes d’épargne et de crédit ;
- Soutenir des personnes qui lancent des activités génératrices de revenus ;
- Créer un mécanisme communautaire pour prévenir et gérer les risques en cas de catastrophe ;
- Les groupes cibles et partenaires locaux se renforcent mutuellement à travers des échanges et des processus d’apprentissage ; ils se basent sur des bonnes pratiques.
POUR QUI?
- 2.000 familles paysannes ;
- 200 groupes d’épargne et de crédit (environ 4.000 personnes) ;
- 50 micro-entreprises ;
- 120 relais communautaires (30% de femmes et 50% de jeunes)/
Avec le soutien de la Coopération belge au développement – DGD